Yûu
Messages : 261 Date d'inscription : 08/02/2015 Age : 29 Localisation : Carrus
| Sujet: Un problème de valeurs [PV Tifanny] Mer 5 Aoû - 9:36 | |
| Un problème de valeurs Je n'avais pas particulièrement envie de le faire, mais je n'avais pas le choix. En tant que Leader, je devais prendre de grandes décisions importantes. Le crime était grave. Au sein de la famille des Carreaux, trahir la confiances de ses confrères et consœurs revenait presque qu'à ce condamnée à mort. C.est ainsi que, après des heures et des heures de réflexion, j'ai trouvé la sentence approprié pour cette individu. C'était une enfant Carreau de 8 ans. Elle avait été prit en flagrant délit avec des soldats Rebelles, en train de donner des informations de hautes importance. Ces informations concernait l'endroit ou allait se tenir une réunion entre les partisans du Carreaux et les Partisans de la Reine. Cette petite avait sûrement soutiré ces informations à des partisans participants à cette réunion. Peut-être leurs sortie d'un bar ou quelque chose du genre, selon les témoignages recueilli.
Donc, face à cette enfant, entourée de gens, près de le la frontière de la capital, je la regardais droit dans les yeux. La peur chez elle était flagrante. Ses parents la regardait d'un air absolument abattu, mais surtout honteux. La petite fillette pleurait à chaudes larmes en s'excusant pour ce qu'elle avait faite. Malheureusement, il devait avoir punition, surtout pour la traîtrise qui est le pire des pires crimes dans tout Vietsen. Et je ne pouvais faire exception pour une simple petite fille. Soupirant, j'élevais un peu la voix pour m'assurer d'être entendu par tout le monde.
''Pour nous avoir trahis, nous ta famille, le jugement est irrévocable. Selon les lois de Carrus et les pouvoirs qui me sont donnés en tant que Leader, la décision prise est.. Sans aucun doute, le bannissement.''
Je n'avais pas vraiment le coeur à bannir une jeune fille, mais les lois sont les lois. Elles ne font exception à personne. Le regard figé sur le moment, la petite pleurait encore de plus belle. Le coeur serré, je me retourna pour être dos à elle et la laisser aux gardes qui allait la mener hors du pays. Bien entendu, je leur avait demandé au préavis de l'emmener dans un endroit sécuritaire. Mais elle n'avait plus le droit de revenir en tant que partisante du Carreau, tel était sa sentence pour avoir enfreint la plus important de nos règles. Serrant les poings, j'entendis une voix s'élever parmi la foule. C'était celle d'une jeune fille.
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